Mode | 06.10.17

Dans les pages de Boléro

Depuis toujours, je raffole des magazines de mode. À chaque fois que paraît une nouvelle publication, je la dévore à toute vitesse, à la recherche de trouvailles et d’inspirations. Pour moi, les magazines sont des objets précieux, avec leurs pages toutes glacées, leurs belles images, leurs couleurs et leurs incroyables idées. C’est peut-être mon petit côté vintage, mais je ne peux pas imaginer un magazine sans papier. Parce que non contente de les lire, j’aime aussi les conserver ;-)  Alors évidemment, quand cet été le magazine Boléro m’a proposé d’être interviewée… je ne vous raconte pas ma joie et mon excitation !

Lundi 21 août, donc, mon showroom était tout beau tout prêt pour accueillir Francesca (la journaliste) et Léa (la photographe). Et moi dans tout ça ? Pas de brief particulier, excepté d’être moi-même et de préparer des tenues qui reflètent au mieux ma personnalité.

Nous commençons par une petite visite des lieux – et bien sûr du dressing. Léa et Francesca sont deux filles absolument adorables, l’interview se déroule à merveille et nous rions beaucoup tout au long de la journée. Je leur fait découvrir mon univers, partage quelques trucs avec elles et explique ma méthode.

Il faut dire que cela fait plusieurs années que je travaille dans une agence de branding. À force d’être entourée de personnes créatives et de me pencher sur l’image de marque des entreprises, ma petite idée s’est développée et c’est tout naturellement que j’ai puisé mon inspiration dans mon quotidien pour créer mon approche. Mon but ? Aider mes clients à définir leur propre marque, avec un accompagnement sur mesure centré autour du style et de la personnalité. Il ne s’agit pas de donner des règles, mais plutôt des astuces à portée de tous pour faire de l’image une arme puissante pour être bien dans ses baskets, économiser du temps et de l’argent.

Voilà pour la partie théorique de mon interview. Mais le plus difficile était encore à venir – le shooting photo ! Jamais je n’aurais imaginé qu’il était aussi dur de prendre la pose. Quatre tenues, 3 heures de shooting et 700 photos plus tard, tout était dans la boîte. Ouf ! Épuisée mais heureuse, il ne me restait plus qu’à attendre quelques semaines pour découvrir l’article.

Cliquez sur le lien pour le lire et bien sûr, n’hésitez pas à m’écrire vos commentaires.

Bonne lecture !

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